Bilan du Camp Nanowrimo (numéro un).

Bonjour. Je vois déjà les regards des quelques âmes passant par là en lisant ce titre et cette première phrase : "Pitié non, elle va pas nous infliger deux billets de blabla inutile" ou, "Bon elle se grouille de le faire, oui ou non ? Parce que c'est pas trop tôt !". Pour la première, je vous rassure, c'est juste une feinte pour remettre quasiment le même titre pour la fin de session d'août. Car oui, que je survive ou pas à ce nouveau mois, il y aura aussi un bilan. Chouette.

...
Heu, vous voulez un verre ?
...
...
Non, mais sérieux, je sèche, là, soyez charitable.
...
...
...
Ok, je vous hais. (Non en fait, c'est pas vrai).


C'est donc parti pour le récit épique.

En réalité, il y a pas grand-chose à dire : j'ai juste dégouliné de sueur sur mon clavier, frapper mon ventilo plusieurs fois par inadvertance, gonflé la totalité de ma maisonnée avec mes explications vaseuses, mes crises aiguës d'enthousiasme et de déprime, mangé plus de chocolat que de raison (et même quand j'avais plus que du noir alors que je n'aime pas ça), suis allé bien trop aux toilettes pour ma santé mentale (et d'une partie de mon corps que je ne décrirai pas, soyons polis), j'ai vidé des litres d'Ice-Tea (ce qui explique le point précédent, je le concède), stressé à mort quand je loupais ma séance du jour par fatigue (ce qui explique de nouveau l'avant-dernier point), maltraité ma souris et le compteur de mots du Nano, en le mettant à jour toutes les cinq minutes et en rajoutant parfois des chiffres en trop  dans le feu de l'action (vraiment et tout à fait par inadvertance, je le jure...), hurlé à la mort quand le site ramait ou me lâchait sans prévenir, et ce dans un moment critique (genre, minuit moins deux minutes), gonflé ma mère en lui parlant d'un truc qu'elle n'a même pas lu et ne lira pas avant la toute fin (ah, je l'avais déjà dit, pour le gonflage familial ?), et au final, me suis retrouvé avec 50 002 mots de plus qu'au départ (m'voyez la warrior qui a fait deux mots de plus que prévu).

[Pour ceux qui se sont endormis pendant le pâté-paragraphe, voici enfin l'heure des totaux, vous pouvez de ce fait ouvrir un œil. L'entrouvrir, à la rigueur.]

En gros, le bébé...pardon, l'embryon bizarre pesait, heu, zut, attendez que je me rappelle. Les maths et moi, le matin...(Cinq minutes de flottement et de réflexions intenses plus tard) : 65 002 mots. Parce que, je suis presque sûr que j'avais déjà 15 000 avant le top du mois de juillet, donc, à priori, c'est ça.

Voilà. Ah, pis c'était le, heu...(Puissante la mémoire, pas vrai ?). Le 26 Juin. Je crois. Maudites stats qui sont parties en cacahuète hier. Enfin, je suis presque sûr que c'est ça. C'est juste qu'il est 8:21 du matin, et que je patauge un peu. Puis c'est des Maths (et eux, et moi, on a jamais été potes).

Et, vous voulez savoir le pire ? On est pas sorti de l'auberge les enfants, car il est pas fini, et je me demande de plus en plus si 120 000 mots y suffiront. Pour le tome Un. Parce que je suis réaliste, avec mon cerveau douteux, tout passera pas en un bouquin, déjà que la fin de ce tome-ci se dandine de plus en plus loin de moi au fur et à mesure que j'avance...Ce qui me rassure, en un sens, c'est que je sais déjà que je trancherai sévèrement des trucs à la correction (qui sera, soit dit en passant, une première pour moi -ça va être folklorique, oui-). Donc, au final, même si ça fait un gros pâté indigeste et rempli de bêtises, je sais d'avance que je tailladerai dedans avec mon couteau à beurre.

Bon, je vais pas m'épancher plus sur ce sujet-là, car, de un, ce billet est déjà bien assez long, de deux, j'en vois qui bavent en dormant au fond de la salle, et de trois, ça fait limite hors sujet, tout ça.

Conclusion ? C'est reparti pour un tour (et en fait, c'est déjà reparti, vu qu'on est le 02).

Programme du jour : Des méchants...très méchants, le (vrai) Méchant (avec la majuscule, oui) qui vient faire un petit coucou, et un héros qui maudit ses cheveux (et ce ne sera pas la dernière fois, en plus). Et pis un sauvetage. Épique, bien sûr (l'italique n'est pas là par hasard, hein). Et aussi 1613 mots.

Heu...
Les mots de ce message, là, ils comptent ?
...
Nan, mais, pas besoin de sortir les briques, je plaisantais. Et je pars ouvrir mon fichier Word au lieu de  trainer sur Internet, oui.

4 commentaires:

Nathaniel a dit…
3 août 2011 à 12:12

Ahhhhhhh !
Je passais à peu près tous les deux jours depuis de 10 juillet pour voir ton avancée Nanoesque. Et puis juillet s'est terminé et toutjours rien. Je me demandais si on aurait droit à un bilan, et puis oui !
Un grand bravo à toi pour les deux mots suplémentaires (c'est les plus durs).Et bonne chance pour le mois d'août (jespère qu'on sera dans la même cabine 。◕ ‿ ◕。).

Brownie a dit…
3 août 2011 à 19:21

L'intérêt que tu me portes est super flatteur, merci ! ^^
Pardon de pas avoir été plus présente sur le Blog, mais j'avais pas grand chose à dire en fait, je ne faisais qu'éditer tous les jours mes compteurs de mots.

En tout cas, je te remercie encore pour ton soutient et ton suivi, ça fait super plaisir !

Anonyme a dit…
14 août 2011 à 09:27

Ouh yeah !
Chouette bilan, très rigolo au passage, j'aime bien ! Nous sommes à mi-août désormais... ça se passe comment de ton côté ? :) Je n'ai pas retenté l'aventure pour ma part, mais j'ai quand même des trucs à écrire, ça c'est sûr ^^

Brownie a dit…
16 août 2011 à 18:33

Madame voulait un billet, madame a eu son billet \ô/ (voir plus haut).
Et merci de tes compliments, ainsi que de ton passage, ça motive grave, gneheh.

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