Moi, ermite ? — N°1.

— Aaaaaaah c'est grave flippant ! Y'a un type, et il stagne devant notre boîte aux lettres et...Ah mon dieu il a tapé dessus ! Enfin non, il a mis sa main dedans !
— Ma chérie ?
— Hein ? Oui, quoi ? Tu vois pas qu'on est envahis là ?
— On appelle ça un facteur.
— ...

(voilà ce qui arrive, quand, pour une fois, on décide de voir les gens au rez-de-chaussé vers midi, kss).

Camp Nanowrimo Août : Quinze jours + Un.

Ouais, la honte, elle a raté le bilan de mi-parcours. Du coup, elle triche avec son titre. Celle la, je vous jure !
Et sinon, ça vous dit un café ? (ou un thé, hein).

Toujours aussi intéressante, z'avez vus ?
Hum, passons cette formidable parenthèse et entrons dans le vif du sujet. Ou pas. (rappelez vous l'éloquence légendaire de la boulette à l'origine ce blog, et donc, ne vous attentez pas à grand-chose). Donc...

Il fait chaud.
Comment ça, on s'en fiche, mais grave ? Hors sujet ? Vous n'avez pas honte ? Hein, c'est moi qui devrait ?
...
Viles choses.

Bon, soyons sérieux (et personne ne toussote dans le fond, merci) :


La deuxième édition du Nano, alors quoi de neuf Germaine ?

Pas grand chose mon cher Maurice, si ce n'est la Cabin (je demande une musique épique, puis avec des accents divins, à la régie, thank's). Mais qu'est-ce donc que cet objet merveilleux allez-vous me dire ? Une nouvelle fonctionnalité du site. Pour ceux qui suaient déjà en Juillet (haha, bande de chanceux), vous aviez une superbe vue sur un truc rouge et barré. Ben, maintenant, il est là (ou plus là en l'occurrence, si vous êtes tatillons). Si vous avez entré vos informations dans le bon menu en début de mois, vous êtes même en plein dedans, maintenant. Pour en revenir à la procédure, après vos choix faits, y a eu le coup de la grande loterie mystique.

Et je sais bien que de mon côté j'ai eu du de la chance. J'ai entré trois pseudos de gens avec qui je blablatais en MP (message privé) sur le site et paf, on a eu le bol d'être ensembles. Et les autres coloc's ? Tous des gens du forum des Nuits. Tous Français et se connaissant de vus (ou de pseudos, si on veut -encore- être tatillons). Bref, une très bonne compo'. Et qui, une fois lancé, s'est révélé encore meilleur que ça.

Pour faire court : On est tous des couillons qui ne supportent pas de voir le compte de mots des autres grimper, grimper, et le notre...soit stagner, soit grimper aussi, mais à une allure d'escargot bourré et miro. Avant que je comprenne comment et pourquoi (enfin, si, je suis une stupide pâtisserie hyper influençable) me suis retrouvé engager dans une baston pour la première place. Même si elle finit toute crado à chaque fois. Entre l'un qui balance sa flotte dessus (ça devrait nettoyer, mais non, on fait que glisser après), l'une qui nous largue une tonne de plumes (genre, c'est une feinte pour qu'on pionce), et la dernière qui se traîne sur le trône en foutant plein de chocolat tout mou partout (hé, je vois vos regards, mais je vous assure que c'est de bonne guerre), ben, perso je voudrais pas m'asseoir après. Mais on le fait quand même. Parce que beugler "preum's" dans la cabin' c'est grave gamin, mais aussi grave satisfaisant (comme quoi, on est tous des mômes dans le fond).

Les trois autres ne glandouillent pas non plus et nous sortent aussi de jolis scores ! Faut dire qu'ils se prennent les débris de la lutte en pleine poire et les coups de fouets d'un certain piaf psyco dans le derrière.

Et dire qu'on est censé être dans un camping.


Un petit recentrage de sujet Bob', je te prie. On pige rien, là.

Ouais, bon, en bref, ceci est une très bonne deuxième session. Bien meilleure que la première, et tout ça grâce à cette cabin de ouf' (dont je remercie chaudement les membres, bien que certains méritent moult punitions pour me destituer aussi vite et tout le temps). Je dois d'ailleurs avouer qu'elle va me manquer, cette cohabitation épique en novembre. Certes, on aura les forums, mais quand même. En fait, l'idéal serait les deux, mais la "tente" fait parti de l'ambiance camping après tout...

Bref, grâce à mes coloc's fous, me voilà à heu, tendez que je vérifie...36 828 mots, c'est à dire, grosso modo, une avance d'une semaine sur le planning. Et j'ai pas écris hier, ni aujourd'hui, donc, tout à l'heure, normalement, ce chiffre augmentera. (Remarquez comme chaque news du Blog arrive pile quand je dois bosser et que je suis à la bourre...hinhihin...hem).

Côté histoire, c'est le bordel. Mais alors total. Mes persos partent en cacahuète, certains se rajoutent, d'autres changent de physique (genre, j'avais prévu une coupe de tifs, ben au moment de leur apparition, ils m'ont fait "Ben, non, ce sera bouclé ou rien"), l'intrigue se tord dans tous les sens et zigzague comme une dinde sans tête, en parfaite harmonie avec mon abruti de héros, bien sûr, qui se perd souvent dans son propre cerveau (quand c'est pas dans les villes locales). Et j'ai engagé une partie III. Alors que normalement, reste que 20 000 mots à faire (plus que quatorze mille, maintenant)...Je le sens mal, quoi.

M'enfin bon, qui vivra, verra, hein. L'histoire va continuer son p'tit bout de chemin, tout en maintenant un rythme plus soutenu (c'est censé être la fin du tome I après tout) et on zieutera bien ce que donnera l'explosion finale (façon de parler).

Je sens que mon héros (voir "mes", sont tous fourbes), va encore partir en vrille d'ici-là. Mah, je suis une warrior. Je survivrai. Ou pas.

Allez, go, il est temps de s'y remettre...Et d'arrêter de me demander si ou non, le nombre de mots pour  mon blog compte pour le Wordcount Nano.

Oh, tiens, des mots-clés ?

Par hasard, je regarde les statistiques et je vois :

Mots-clés de recherche :
amour familial sucre - 1
boulettes sucrées blogspot - 1

Rien que le fait qu'on recherche mon blog m'intrigue, mais, si je peux comprendre le deuxième ensemble, le premier me laisse en revanche perplexe. Quelqu'un cherchait-il simplement mon dernier article ou...tout autre chose ?

(Et je sais pas dans quelle catégorie mettre cet article. Disons Tranches de Mie, même si c'est plus de la Mie Virtuelle, pour le coup).

Bilan du Camp Nanowrimo (numéro un).

Bonjour. Je vois déjà les regards des quelques âmes passant par là en lisant ce titre et cette première phrase : "Pitié non, elle va pas nous infliger deux billets de blabla inutile" ou, "Bon elle se grouille de le faire, oui ou non ? Parce que c'est pas trop tôt !". Pour la première, je vous rassure, c'est juste une feinte pour remettre quasiment le même titre pour la fin de session d'août. Car oui, que je survive ou pas à ce nouveau mois, il y aura aussi un bilan. Chouette.

...
Heu, vous voulez un verre ?
...
...
Non, mais sérieux, je sèche, là, soyez charitable.
...
...
...
Ok, je vous hais. (Non en fait, c'est pas vrai).


C'est donc parti pour le récit épique.

En réalité, il y a pas grand-chose à dire : j'ai juste dégouliné de sueur sur mon clavier, frapper mon ventilo plusieurs fois par inadvertance, gonflé la totalité de ma maisonnée avec mes explications vaseuses, mes crises aiguës d'enthousiasme et de déprime, mangé plus de chocolat que de raison (et même quand j'avais plus que du noir alors que je n'aime pas ça), suis allé bien trop aux toilettes pour ma santé mentale (et d'une partie de mon corps que je ne décrirai pas, soyons polis), j'ai vidé des litres d'Ice-Tea (ce qui explique le point précédent, je le concède), stressé à mort quand je loupais ma séance du jour par fatigue (ce qui explique de nouveau l'avant-dernier point), maltraité ma souris et le compteur de mots du Nano, en le mettant à jour toutes les cinq minutes et en rajoutant parfois des chiffres en trop  dans le feu de l'action (vraiment et tout à fait par inadvertance, je le jure...), hurlé à la mort quand le site ramait ou me lâchait sans prévenir, et ce dans un moment critique (genre, minuit moins deux minutes), gonflé ma mère en lui parlant d'un truc qu'elle n'a même pas lu et ne lira pas avant la toute fin (ah, je l'avais déjà dit, pour le gonflage familial ?), et au final, me suis retrouvé avec 50 002 mots de plus qu'au départ (m'voyez la warrior qui a fait deux mots de plus que prévu).

[Pour ceux qui se sont endormis pendant le pâté-paragraphe, voici enfin l'heure des totaux, vous pouvez de ce fait ouvrir un œil. L'entrouvrir, à la rigueur.]

En gros, le bébé...pardon, l'embryon bizarre pesait, heu, zut, attendez que je me rappelle. Les maths et moi, le matin...(Cinq minutes de flottement et de réflexions intenses plus tard) : 65 002 mots. Parce que, je suis presque sûr que j'avais déjà 15 000 avant le top du mois de juillet, donc, à priori, c'est ça.

Voilà. Ah, pis c'était le, heu...(Puissante la mémoire, pas vrai ?). Le 26 Juin. Je crois. Maudites stats qui sont parties en cacahuète hier. Enfin, je suis presque sûr que c'est ça. C'est juste qu'il est 8:21 du matin, et que je patauge un peu. Puis c'est des Maths (et eux, et moi, on a jamais été potes).

Et, vous voulez savoir le pire ? On est pas sorti de l'auberge les enfants, car il est pas fini, et je me demande de plus en plus si 120 000 mots y suffiront. Pour le tome Un. Parce que je suis réaliste, avec mon cerveau douteux, tout passera pas en un bouquin, déjà que la fin de ce tome-ci se dandine de plus en plus loin de moi au fur et à mesure que j'avance...Ce qui me rassure, en un sens, c'est que je sais déjà que je trancherai sévèrement des trucs à la correction (qui sera, soit dit en passant, une première pour moi -ça va être folklorique, oui-). Donc, au final, même si ça fait un gros pâté indigeste et rempli de bêtises, je sais d'avance que je tailladerai dedans avec mon couteau à beurre.

Bon, je vais pas m'épancher plus sur ce sujet-là, car, de un, ce billet est déjà bien assez long, de deux, j'en vois qui bavent en dormant au fond de la salle, et de trois, ça fait limite hors sujet, tout ça.

Conclusion ? C'est reparti pour un tour (et en fait, c'est déjà reparti, vu qu'on est le 02).

Programme du jour : Des méchants...très méchants, le (vrai) Méchant (avec la majuscule, oui) qui vient faire un petit coucou, et un héros qui maudit ses cheveux (et ce ne sera pas la dernière fois, en plus). Et pis un sauvetage. Épique, bien sûr (l'italique n'est pas là par hasard, hein). Et aussi 1613 mots.

Heu...
Les mots de ce message, là, ils comptent ?
...
Nan, mais, pas besoin de sortir les briques, je plaisantais. Et je pars ouvrir mon fichier Word au lieu de  trainer sur Internet, oui.